«L’important, c’est de se connaître soi-même. Souvent, quand on est jeune, on pense beaucoup au métier qu’on va faire, mais il faut surtout chercher à faire ce qu’on aime», lance Alfredo Demartino, un maçon qui est aujourd’hui contremaître chez Atwill-Morin.
«Puis il n’y a pas juste l’argent dans la vie, poursuit-il. J’aime ce que je fais. Je travaille sur des contrats patrimoniaux et c’est stimulant mentalement et physiquement. J’ai toujours aimé l’architecture et mon emploi me permet d’avoir un contact privilégié avec des bâtiments historiques. Et je me promène pas mal», conclut celui qui travaille ces jours-ci sur un chantier au Nouveau-Brunswick.
Article paru dans le Journal de Montréal